Uber Taxi by Google : Soon there'll be no need to carry money anywhere
Publié le 12 Mai 2014
UBER TAXIS haven’t so much been ruffling feathers across the globe, rather ripping them out.
"Apps are a natural progession, apps make everything easier for everyone. Soon there'll be no need to carry money anywhere."
The San-Francisco based app-only taxi service has induced black-cab gridlock protests in London and further demonstrations from drivers in cities across the world: Sydney, New York, Toronto, Berlin, Paris and Brussels.
Tensions in Paris lead to violent clashes between local cabbies and app-based drivers. Missiles through windows, injured passengers, wine down shirts. Even strikes - ok that's not too surprising.
Launched in 2010, the 'pick-up' service that isn't Tinder or Grindr now operates in more than 100 cities around 30 countries across six continents.
Uber targeted the London 2012 Olympics as the time to penetrate the British Isles, next came Dublin, now it's Manchester.
"The growth has been incredible," says Max Lines, General Manager of Uber's new Manchester wing, based at Centurion House on Deansgate. "The ultimate mission plan is for Uber to be present in every major city across the world."
read more : http://www.manchesterconfidential.co.uk/News/Google-Backed-Uber-Taxis-Hits-MCR-Manchester
Le service de taxis Uber a annoncé, au début du mois d'août, une levée de fonds de 361 millions de dollars (270 millions d'euros) pour son développement international.
L'opération a d'abord été rapportée par le site américain AllThingsD, du Wall Street Journal, jeudi 22 août. Sur les 361 millions de dollars obtenus par la start-up, 258 millions (192 millions d'euros) proviennent du fonds d'investissement de Google, Google Ventures. Près de 90 autres millions (67 millions d'euros) proviennent du fonds TPG Capital. Le montant et l'identité des investisseurs ont été confirmés par Uber dans un billet de blog. L'opération valoriserait l'entreprise à 3,5 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros).
L'innovation d'Uber, service de chauffeurs privés lancé en 2009 – qui ne peut fonctionner que sur réservation –, est de fonder son utilisation sur les smartphones : par une application pour iPhone ou téléphone Android ou par SMS, le système localise le taxi le plus proche et fournit des informations précises sur le trajet. Le service est disponible dans plus de quarante villes, réparties dans seize pays. Uber a d'ailleurs annoncé, vendredi 23 août, ses débuts commerciaux à Shanghaï. Il s'agit de la quatrième ville asiatique, après Singapour en janvier, puis Séoul et Taipei en juin, selon The Next Web.
LE PLUS GROS INVESTISSEMENT DU FONDS GOOGLE
"Ce tour de table de 258 millions de dollars avec produits contribuera à notre expansion sur de nouveaux marchés, à accélérer l'acquisition de clients et de chauffeurs, et à combattre le protectionnisme et les efforts anticompétitifs", déclare l'entreprise. Uber, comme plusieurs autres services, s'est attiré l'ire des compagnies de taxis classiques dans plusieurs villes, dont Paris. Ces services qui proposent un service sur smartphone ou du covoiturage instantané sont considérés comme une concurrence déloyale par les acteurs en place.
Lire (édition abonnés) : "Des start-up à l'assaut des taxis"
Google Ventures dépense 300 millions de dollars chaque année. L'investissement dans Uber est le plus important jusqu'ici par le fonds de l'entreprise, qui mise de plus en plus sur la voiture. Le groupe développe depuis plusieurs années des voitures sans conducteur, qui roulent notamment aux Etats-Unis depuis le début de 2012. Le groupe envisagerait d'ailleurs de fournir, dans un futur non déterminé, un service de taxis sans chauffeur, des "robots taxis" qui limiteraient le besoin de posséder une voiture et les accidents, rapportait la journaliste Jessica Lessin, vendredi 23 août.
Le projet est rapproché de Google Fiber, à Kansas City, où la société de Mountain View est devenue fournisseur d'accès grâce à l'un des réseaux de fibre optique les plus rapides au monde. Si l'idée aboutit, Google pourrait décider de proposer ces voitures sans chauffeur dans une ville pilote, avant de les déployer ailleurs. L'investissement dans Uber et sa technologie, qui permet de lier un client à la voiture la plus proche, pourrait donc être utile au groupe californien.
Apps are a natural progession, apps make everything easier for everyone. Soon there'll be no need to carry money anywhere
The ultimate mission plan is for Uber to be present in every major city across the world