HOLD-UP sujet COVID - Paroles de Médecins pas encore tués - Arrêtons d'avoir peur dit-on tout bas !

Publié le 18 Décembre 2020

Que vous aimiez ou pas la Forme de ce dit Documentaire "Hold-Up", vous devriez être interloqué sur le Fond !  

OOkawa a rapproché et corrélé des informations agrégées de ci et de là, avec recul et discernement.

ACTION !

OOKAWA-Corp

« Quand le pouvoir économise l’usage de ses armes, c’est au langage qu’il confie le soin de garder l’ordre opprimant » écrivait Mustapha Kayhati en 1966, dans le dixième numéro de la revue « Internationale Situationniste ». Cinquante-quatre ans plus tard, en écho à l’ordre policier mis en place depuis le printemps au nom d’une épidémie virale, les médias menottent le langage. Comment garder le contrôle narratif d’un évènement qu’ils ne comprennent pas ? Simple : à coups de mot-valise (« deuxième vague », « rassuriste », « antivax »…) moulinés jusqu’à l’écœurement. Des mots de pure novlangue, absents de la littérature scientifique rigoureuse, dont ils assurent sur tous les supports, la viralité.

Swank pour FRANCE SOIR

source : https://news.google.com/topstories?hl=fr&gl=FR&ceid=FR:fr

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Mise à jour le 18/12/2020 14H10

C'est une véritable chasse aux sorcières.
Je pense qu'aujourd'hui la FRANCE est digne de la RUSSIE de Staline

Christian Perronne

Christian Perronne au Défi de la vérité : ses premiers mots après sa mise à l'écart

L'épidémie, les mutants, les visons et le traitement

Pour voir Le site HOLD-UP : https://holdup-lefilm.fr/

Hold-Up : Les Producteurs contre attaquent

publié le 09/12/2020 sur Youtube

Hold-Up : "Aucune diffamation de ma part" Le Pr Perronne persiste et signe (Re-Upload)

11/12/2020

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan devenu une célébrité dans le monde de la médecine après son témoignage dans le film Hold-up, un documentaire qui défraie la chronique en ce moment, a été interné d'office le jeudi 10 décembre à l'hôpital psychiatrique du Mas Careiron d'Uzès.

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, comme d'autres experts, a participé au film Hold-up, ce qui a provoqué une polémique avec l'institut Pasteur attaquée par le mandarin à propos des vaccins. L’institut Pasteur avait annoncé qu'il déposerait plainte contre le professeur. Ce dernier a lui-même attaqué ces derniers-jours en justice pour "diffamation" un médecin du célèbre institut.

Le film Holp-up s'appuie sur un mélange de théories complotistes et voulait démontrer les mensonges des autorités sur le covid-19 et notamment la gestion des masques, la chloroquine et les vaccins, ainsi que la puissance des groupes pharmaceutiques. Un participant au film, l'ancien ministre de la santé, Philippe Douste-Blazy, s'est rapidement désolidarisé du documentaire en demandant de ne plus y figurer. Un film contesté depuis par la très grande majorité de la communauté scientifique et médicale.

Concernant l'affaire gardoise, suite à cette hospitalisation en psychiatrie, des supporters du professeur Fourtillan, lui-même englué dans une affaire de faux essais cliniques, estiment sur les réseaux sociaux que cet internement est une attaque contre ceux qui dénoncent les vaccins. Ils ont d'ailleurs, selon nos renseignements, envoyé des menaces à l'hôpital gardois. Ils indiquent même dans certains mails qu'ils allaient "délivrer" ou "faire évader" le médecin de "la séquestration psychiatrique". Toujours selon nos renseignements, depuis hier plusieurs centaines de mails ont été reçues par la clinique de la part d'un énigmatique réseau "des robes noires". L'établissement hospitalier d'Uzès bénéficie d'une surveillance accrue de la part des autorités. Du côté de la Préfecture du Gard, elle indique qu'il s'agit d'une mesure individuelle d'hospitalisation "qui relève d'une prescription médicale et qui est donc couverte par les règles habituelles de confidentialité des informations médicales personnelles"

source : https://www.objectifgard.com/2020/12/11/gard-des-centaines-de-personnes-menacent-de-faire-evader-un-professeur-de-medecine-interne/

Épidémies, Traitements, Vaccins

Pr Christian Perronne :"Moderna, Pfizer, ce ne sont pas des vaccins, c'est de la thérapie génique"

LE Pr ÉRIC CAUMES CRAQUE EN LIVE SUR LES VACCINS D'UN NOUVEAU TYPE À BASE D'ADN ET ARN CRÉÉ EN LABO

Didier Raoult : Quand la #corruption se voit trop !

2 décembre 2020
Le temps s’accélère et chaque semaine apporte son lot de révélations sur la coque-vide faussement intronisée comme pandémie dévastatrice. Avant-hier, je pensais vous parler de l’étude réalisée par les CDC (Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies) et publiée mercredi dernier. Les chercheurs ont prélevé et testé le sang de plus de 3.000 soignants dans 13 hôpitaux américains d’avril à juin 2020 : 194 personnes (6%) étaient porteuses d’anticorps au coronavirus. Deux mois plus tard, 156 d’entre elles ont été à nouveau testées : chez 94%, le niveau d’anticorps avait baissé et chez 28%, il était tombé en-dessous du seuil qui indique généralement une infection passée. Ça signifie que les tests de sérologie sous-estiment le nombre de personnes qui ont déjà été contaminées et qu’un résultat négatif n’exclut pas forcément une rencontre antérieure du système immunitaire avec le sars-cov-2. Mauvaise nouvelle ? Que du contraire ! Ça veut dire que des tas d’épisodes infectieux sont très probablement passés sous le radar et que plein de gens ont « fait le covid » sans s’en apercevoir. Ils sont restés asymptomatiques ou ont à peine ressenti l’état grippal accompagnant le séjour et l’excrétion de l’agent viral. En clair, cette étude confirme ce que dit depuis le début John P.A Ioannidis, professeur de médecine et chercheur à l’Université de Stanford, pour qui la grippe covid est en réalité moins meurtrière que la grippe saisonnière. Évalué initialement à plus de 5% et estimé pour l’instant à 0,37% maximum, son taux de létalité (nombre d’issues fatales parmi les infectés) est sans doute encore très inférieur ! Dans plusieurs pays, il se confirme aussi que des réinfections peuvent survenir en l’espace de quelques mois. On ne compte plus les covidés du printemps qui ont récidivé en automne. Cela suggère également que la maladie est le plus souvent tellement légère – un simple rhume – que les cellules immunitaires ne mémorisent même pas l’information. Puisque la maladie elle-même n’est pas, ou à peine, immunisante, cela anéantit au passage l’espoir d’un vaccin efficace. À moins de se vacciner plusieurs fois par an avec toutes les souches mutantes, l’échec de la solution vaccinale est garanti sur piqûre !

source : http://www.profession-gendarme.com/un-rapport-explose-le-test-pcr/

HOLD-UP : Natacha Polony analyse le film Hold-Up et les raisons du succès qu’il rencontre

Mise en scène solennelle, voix off promettant "dévoilement" du complot… Natacha Polony analyse le film Hold-Up et les raisons du succès qu’il rencontre. Quand le débat se limite à une lutte entre le Bien et le Mal, les complotistes ont table ouverte.

La Vidéo d'examen du HOLD-UP : ICI

HOLD-UP : Natacha Polony analyse le film Hold-Up et les raisons du succès qu’il rencontre
HOLD-UP : Natacha Polony analyse le film Hold-Up et les raisons du succès qu’il rencontre

 

Autres morceaux choisis : 

1/ Provenance de SUISSE :
source https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/10/24/purges-covidiennes-chapeau-bas-au-dr-pascal-sacre-avec-coup-310043.html

Purges covidiennes : chapeau bas au Dr Pascal Sacré, coup de gueule et cri du cœur

La bouffée délirante qui se chronicise depuis plusieurs mois connaît un net regain à la faveur de la ré-augmentation du nombre d’hospitalisations et de décès liés au Covid. Tout comme ils emploient abusivement le terme de « cas de Covid » pour parler des tests PCR, les autorités et les médias assènent la réalité d’une « deuxième vague » dont il importe de comprendre pourquoi ce à quoi nous assistons n’en est pas une.

Il s'agit en fait bel et bien d'une saisonnalité, une recrudescence due aux conditions pré-hivernales et non pas aux comportements irresponsables (comme on essaye de nous le faire croire) de la population. Une situation en miroir de la décrue épidémique du mois d'avril, qui n'était pas due aux vertus du confinement (les courbes ont été peu ou prou les mêmes dans tous les pays quelles que soient les mesures de confinements prises ou non) mais déjà de la saisonnalité.

Les incohérences continuent de se succéder dans le narratif officiel, et de brouiller les pistes. Pareillement, les sophismes (fautes de logique) y abondent, d’une manière si évidente que tout étudiant en première année d’université dans n’importe quel domaine devrait normalement être capable de les repérer.

Les autorités affirment bec et ongles que rien n’a changé, que le virus est exactement le même qu’en mars-avril (ce que démentent les analyses génomiques) et que nous sommes exactement dans le même cas de figure de croissance exponentielle du nombre de cas.

Elles affirment de surcroît que les mesures de plus en plus sévères qu’elle imposent sont nécessaires pour ralentir la progression de l’épidémie, ce qui est un pur contresens. Si elles s’avéraient efficaces et si le virus n’a pas muté, pourquoi cette reprise épidémique maintenant et non au mois de juillet, quand personne ne portait de masque ?!

Pourquoi les manifestations « démasquées » de Berlin et d’autre villes européennes cet été n’ont-elles pas entraîné de flambée épidémique ?! Et pourquoi la Suède, qui n’a jamais confiné ni masqué sa population, connaît-elle aujourd’hui le plus faible taux de mortalité en Europe ?!

N’importe quel esprit conservant trois sous de logique y verrait une contradiction sérieuse avec le narratif officiel, et n’importe quel scientifique / chercheur / penseur digne de ce nom s’affronterait avec rigueur et passion à cette énigme.

Nous n’en sommes hélas plus là. A force de manipulations et de désinformation, les gens sont majoritairement convaincus de l’utilité de faire toujours plus de la même chose, même si les données disponibles en questionnent fortement le bien-fondé.

Nous reviendrons prochainement sur cette vaste et si importante question. Contentons-nous de relever que trois sociologues spécialistes de la gestion des crises viennent à leur tour de mettre en avant ce que votre serviteur exprime depuis le mois de mars : il y a une vraie fuite en avant des autorités qui durcissent de plus en plus (à un coût sanitaire et sociétal terrifiant) des mesures dont rien ne montre à ce stade qu’elles aient une quelconque utilité.

 « Cette annonce (du couvre-feu) inspire un sentiment de déjà-vu. Elle ressemble, par bien des points, à l’annonce du confinement il y a sept mois.

D’abord, aucune des deux ne faisait partie de l’arsenal des mesures prévues pour gérer une crise sanitaire. Aucune des deux ne constitue à proprement parler une mesure de santé publique.

Ensuite, ce sont deux mesures sur lesquelles on ne dispose que de très peu de connaissances, qu’il s’agisse de leurs effets pour contrôler une épidémie, ou de leurs « effets secondaires », sanitaires, économiques ou sociaux. C’est d’autant plus surprenant que la science est mise en avant pour justifier ces décisions, sans qu’elles n’aient jamais été véritablement testées ou étudiées. »

Vous avez bien lu : on intensifie jusqu’à la maltraitance collective des mesures dont rien ne démontre sérieusement qu’elles soient utiles.

La population est tellement endoctrinée pourtant que bien des gens réclament un durcissement extrême de ces mesures douteuses, ou prennent à partie violemment celles et ceux qui se permettent de rappeler la réalité de la science vs la doctrine et le dogme gratuits qui prévalent.

 

Bastonnades et joyeusetés

Les éveilleurs de conscience passent de sales moments. Les Pr Laurent Mucchielli et Laurent Toubiana (maîtres d’œuvre de différentes tribunes et prises de position de médecins et scientifiques) ont levé le pied devant la violence invraisemblables des attaques subies.

Le Pr Christian Perronne, qui a dirigé pendant une décennie de pôle « maladies infectieuses et épidémies » de la Haute autorité de santé se voit trainer dans la boue et sanctionner, y compris par la Fédération française contre les maladies vectorielles à tiques (FFMVT) , lui qui a aussi été un héros de la lutte pour la reconnaissance et le traitement de cette maladie !

Quant au Dr Pascal Sacré, dont nous avons partagé ici différents textes remarquables de probité, d’intelligence et de nuance éclairée (comme ceux sur le port du masque et les procédures de réanimation face au Covid), voici qu’il vient d’être licencié comme un malpropre par l’Hôpital de Charleroi où il pratiquait avec un irréprochable professionnalisme et une grande humanité depuis 17 ans.

Cette violence mimétique s’explique bien à vrai dire à la lumière des théories du philosophe et anthropologue René Girard : quand une société est trop en tension, et que certaines personnes innocentes viennent à y incarner un certain visage du désir (désir d’honnêteté, de probité, de liberté), il faut s’attendre à un déferlement de violence visant à les traiter en boucs-émissaires.

Ce phénomène n’a rien à voir avec les processus de victimisation : il s’agit d’un déferlement de violence du groupe humain qui cherche à préserver son idéologie -même fallacieuse- envers et contre tout. On trouve là la source de la lapidation et du lynchage (pôle de déferlement pulsionnel) comme la persécution méthodique des dissidents (pôle de sublimation procédurière).

La foule excitée traite donc le plus grand microbiologiste français de charlatan (ben tiens !), ostracise le Pr Perronne, flingue le Pr Toubiana, lynche le Dr Sacré, etc. Votre humble serviteur, lui, se fait traiter d’imposteur par des allumés qui n’ont pas le centième de ses connaissances et compétences en matière de dispositifs de santé. Et sont eux-mêmes - en vertu du mécanisme psychologique élémentaire de projection - sans la moindre qualification qui les autoriserait à s’exprimer autrement que dans le registre de la conversation de comptoir sur les sujets ici traités.

Avec pour ce qui me concerne deux avantages immunitaires : avoir assuré ma pleine liberté de parole et d’action (me protégeant ainsi de tous les petits lapidateurs locaux qui y vont de leur jet de gravier rageur !) Ensuite n’avoir pas peur du combat face à l’injustice et à l’abus, situation qui me stimule bien plus qu’elle ne me décourage.

"Le Dr Sacré lui a bien senti venir le vent du boulet. Cet homme de toute évidence bienveillant et intègre s’en est ouvert le 17 octobre, postant le message suivant :

J'ai peut-être compris en partie ce qui se passe.

Je suis médecin depuis 25 ans, une carrière sans tache. Bien vu de mes collègues, avec un profil plutôt calme et conformiste (oui-oui), pour autant qu'on ne bafoue ni la vérité, ni l'honnêteté comme on le fait aujourd'hui.

Je travaille en soins intensifs depuis 17ans, j'ai travaillé en centre des grands brûlés 2,5 ans. Je connais bien les services aigus, réanimations, urgences, services d'hospitalisations...

Nous avons une recrudescence habituelle d'entrées, comme chaque année, à cette période de l'année. Vraiment. Nous avons une période de stress, toujours, en automne, encore plus en hiver et en plus, c'est vrai, nous avons une maladie de plus, aujourd'hui appelée COVID, c'est comme ça, elle ne disparaîtra pas, comme la grippe avant elle... Par contre, nous la connaissons mieux et nous sommes moins pris au dépourvu. De plus, les formes semblent moins sévères (à confirmer) en majorité. Cela n'empêche pas que pour les soignants, la période est dure, très dure mais le COVID ne doit pas cacher ce que le monde du soignant de terrain (infirmier, kinésithérapeute...) hurle depuis des années, dans le désert journalistique et politique, c'est le manque de moyens, de soutiens, d'effectifs !!!

C'est encore plus exacerbé, à cette époque de l'année habituellement saturée d'entrées, et après une période horrible qui pour les soins intensifs, je veux dire pour l'infirmier en soins intensifs, n'a pas fait de pauses ! (par rapport aux métiers de l'enseignement, ou d'autres mis en télétravail...). Ce n'est pas en fermant les restaurants, puis après quoi d'autres ? en diminuant les contacts sociaux qui font tellement de bien au moral, en maintenant cette peur disproportionnée par rapport à la réalité et tant pis si je risque des sanctions parce que je dis la vérité, que l'on va aider vraiment les infirmiers, les médecins, les kinés épuisés à faire leur travail. C'est en ramenant la raison, le calme, en amenant des moyens là où on en a besoin, en laissant les médecins cliniciens prendre les choses en main !

Voilà ce que je crois comprendre partiellement, aujourd'hui, car je suis là où ça se passe aujourd'hui.

La médecine est envahie par la Science !

Les "Scientifiques" veulent remplacer les docteurs qui touchent, écoutent, soignent non pas des TESTS, mais des malades, des gens, des êtres, et les politiques, dirigeants n'écoutent plus que ça, la Science (même quand elle se trompe et qu'elle ne l'admet pas puisqu'elle se croit infaillible, alors qu'elle oublie qu'elle reste créée par des humains, donc faillibles).

Et tout cela au détriment des vrais soignants, de terrain, ceux qui sont là, au chevet des malades et qui s'épuisent faute de moyens, de soutiens et de décisions plus raisonnables, qui ne cèderaient pas autant à la panique !

Alors que tout est présenté comme étant fait dans le but d'aider les hôpitaux (les êtres humains qui travaillent dans ces hôpitaux), c'est tout le contraire qui se passe.

Merci de votre écoute.

Je ne fais que dire ma vérité, au milieu de ce vacarme de mensonges, d'exagérations et d'hystéries nourries de peur et d'alarmisme inutile.

Dr Pascal Sacré"

 Quelques jours plus tard tombait le couperet : viré ! La liberté d’opinion et d’expression coûte cher par les temps qui courent, aux pays des ayatollahs de la pensée unique. Voici la réaction qu’il fait paraître :

"Voilà, c'est fait.

Triste.

Abattu mais pas mort.

Je rebondirai. Je rebondis toujours. Je suis comme une balle, vous voyez ces balles en caoutchouc

Juste parce que je parlais ?

Juste parce que j'écrivais ?

Juste pour ça ?

Juste pour expliquer, argumenter mon point de vue ?

17 ans de métier sans une tache. J'ai tout donné, car j'aime ça, aider. Soigner. Soulager. J'ai toujours aimé cela, même au prix de la douleur, de l'ingratitude, de l'insomnie, c'est ma vocation. J'ai tous ces visages, sourires, poignées de main, ces yeux emplis de mercis, ces souvenirs dans ma tête endolorie aujourd'hui, et cela, personne ne peut me les reprendre.

Infirmiers, aides-soignants, sécrétaires, techniciennes de surface, kinés, psy, et les docs, mes collègues de tranchée pendant 9 ans, et tous ceux d'avant, jamais, jamais je ne vous oublierai, ne vous renierai, jamais.

Prenez soin de ce qui fait de vous ces personnes que je suis fier d'avoir connues, côtoyées.

Merci

 Je terminerai cette note avec la prise de position / cri du cœur courageux d’une chercheuse belge, la Dre Audrey Vanhaudenhuyse, qui ose exprimer le plus clairement qu’il soit ce à quoi nous sommes désormais confrontés et qui devrait faire frémir d’horreur tout démocrate ou personne se prétendant telle. Ce qui clairsemera quelque peu les rangs : la démocratie est toujours en sursis du fait de la lâcheté et de l’aveuglement de ceux qui cèdent à la violence mimétique, de tous milieux et de toutes sensibilités politiques.

En Belgique, la RTBF a basculé hideusement dans cette dérive. J’ai de mon côté une chouette liste de noms pour la Suisse romande (il n’y a pas besoin de chercher très loin) avec pas mal de politiques, de « spécialistes » grevés de conflits d’intérêt comme de soi-disant journalistes sévissant dans des « médias » financés par l’état et les pharmas.

Balancer des noms ne m’intéressant pas, nous en resterons à l’analyse des procédés lamentables comme celui subi par le Dr Sacré. Et ce qu’ils nous révèlent de l’effondrement de nos fondements démocratiques, philosophiques et polémologiques. Avec toute l'admiration, la reconnaissance, la solidarité que je lui adresse ainsi qu'à  tous les Justes qui aujourd’hui subissent un pilonnage obscène de la part de certains pouvoirs en place qui achèvent, eux, par là, de se déshonorer.

 

"Chers amis, copains, collègues, connaissances, frères et sœurs de vie,

Je prends très rarement la parole sur les réseaux sociaux quels qu’ils soient, mais aujourd’hui ma coupe est vraiment pleine. Nous vivons une situation effrayante face à un virus que nous connaissons peu, qui nous surprend, face à une situation sanitaire et sociétale terrible où les hôpitaux sont saturés, en manque de personnel, engorgés et épuisés, où des pans entiers de notre vie en communauté s’effondrent.

Face à cet état de faits, en tant que citoyenne et scientifique, je suis aussi effrayée par un évènement qui vient d’arriver.

Ce mardi, notre collègue, le Dr Pascal Sacré, qui suite à ses questionnements et interpellations sur la gestion de la crise sanitaire, a perdu son travail avec pour invocation des propos discréditant son institution hospitalière.

Que l’on rejoigne ces questionnements ou non n’a pas d’importance.

Depuis quand un citoyen ne peut-il plus poser des questions et interpeller sans avoir peur de perdre son travail ? Aujourd’hui, je suis effrayée car c’est encore une fois la liberté d’expression qui est prise en otage !

Que l’on rejoigne ces questionnements ou non n’a pas d’importance.

Plusieurs personnes dans nos pays dits développés et évolués se voient humiliées, discréditées voir insultées publiquement par nos dirigeants et nos médias publics, d’autres perdent leur emploi pour avoir osé poser des questions.

Que l’on rejoigne ces questionnements ou non, n’a pas d’importance.

Quelle sera la suite ? j’ai peur… peur de m’exprimer, peur des conséquences d’un débat scientifique à sens unique, peur pour ma famille, peur pour mes enfants.

Ce licenciement récent me fait (enfin !) réagir. Le musèlement de la parole n’est certes pas nouveau, mais je vivais certainement dans cette douce croyance de la bonté de chacun et de ce mirage que « chez nous, ce n’est pas pareil ».

Jusqu’où allons-nous accepter ces actes qui détruisent notre saine et légitime liberté d’expression ? Est-ce que nous souhaitons que nos enfants grandissent dans un monde aux allures dogmatiques, sans discussion, sans débat ?

Ces quelques mots de ras-le-bol, d’effroi, de dégout et de peur à vous mes amis, copains, collègues, connaissances, frères et sœurs de vie...

Amitiés et beaucoup d’amour à chacun,

Audrey Vanhaudenhuyse, PhD"

Autres morceaux choisis : 

Provenance de BELGIQUE :
 

Paroles de Médecins pas encore tué

"Mon appel du 29 novembre, en vidéo – Dr Pascal Sacré"

HOLD-UP sujet COVID - Paroles de Médecins pas encore tués - Arrêtons d'avoir peur dit-on tout bas !
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Au 03 dec. 2020 VIDEO CENSUREE DEPUIS

Autres morceaux choisis : 

Provenance de FRANCE :

Paroles de Médecin pas encore tué

Parole donnée au Dr Bellaïche : Ce que vous ne verrez pas sur les plateaux !

Les cinq phases de vaccination contre le Covid-19 en France

Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020

https://news.google.com/covid19/map?hl=fr&mid=%2Fm%2F02j71&gl=FR&ceid=FR%3Afr

Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
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Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
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Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020
Cartographie 2D par Google: COVID 19 au 02 déc. 2020

 

Autres morceaux choisis : 

FRANCE SOIR :


source : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/hold-une-oeuvre-de-sedition

« Hold-Up », une œuvre de sédition

Terrifiés à l’idée de perdre le monopole du récit de la pandémie de Covid-19, le pouvoir et ses organes de propagande ont violemment réagi à la sortie du documentaire polémique « Hold-Up ». Quelques heures après sa mise en ligne sur Internet, les actes de censure sur les plateformes de diffusion et les articles à charge se sont multipliés, trahissant un sentiment de panique des autorités.
Et si c’était leur monde qui s’écroulait ?

« Quand le pouvoir économise l’usage de ses armes, c’est au langage qu’il confie le soin de garder l’ordre opprimant » écrivait Mustapha Kayhati en 1966, dans le dixième numéro de la revue « Internationale Situationniste ». Cinquante-quatre ans plus tard, en écho à l’ordre policier mis en place depuis le printemps au nom d’une épidémie virale, les médias menottent le langage. Comment garder le contrôle narratif d’un évènement qu’ils ne comprennent pas ? Simple : à coups de mot-valise (« deuxième vague », « rassuriste », « antivax »…) moulinés jusqu’à l’écœurement. Des mots de pure novlangue, absents de la littérature scientifique rigoureuse, dont ils assurent sur tous les supports, la viralité.

Ce 11 novembre, date de sortie du documentaire de Pierre Barnérias, les moutons de l’intelligentsia n’en avaient choisi qu’un seul : conspirationnisme (ou théorie du complot). Un mot répété en boucle, sur tous les tons, dont ils n’ignoraient pas la charge symbolique. Dans l’imaginaire collectif de la société moderne, le conspirationnisme est en effet associé aux « Protocoles des Sages de Sion », ce faux document qui a servi d’alibi, entre autres, aux délires antisémites des nazis. Il n’a d’ailleurs pas fallu longtemps pour qu’un journaliste crache le morceau en faisant l’amalgame. Ce fut Jean-Luc Mano, ressorti des cartons pour l’occasion, qui lâcha l’insulte suprême. En quelques heures, le point Godwin était atteint. Tout le reste fut à l’avenant. Jouant les arbitres des élégances, d’obscurs spécialistes du « complotisme » vinrent livrer leurs avis péremptoires sur les plateaux ou dans les colonnes des journaux. Reconvertis en commissaires politiques, les instances politico-médiatiques avaient déjà oublié la liberté d’expression qu’elles célébraient quelques jours avant. Comme quoi, le naturel revient vite au galop.

Le premier visionnage de « Hold Up » éclaire aisément leur dégoupillage. Pulvérisant le storytelling officiel, le documentaire dresse un constat implacable des mensonges, contradictions et scandales qui ont émaillé l’épisode pandémique depuis le mois de mars : l’interdiction de l’hydroxychloroquine sur la base d’une étude mondiale frauduleuse, la promotion du remdesivir (nouvelle molécule coûteuse, inefficace et néphrotoxique) portée par un efficace lobbying du laboratoire Gilead et de médecins médiatiques, le décret ministériel autorisant l’injection de Rivotril, la politique incohérente et inefficace de testing, le sketch des masques (inutiles… puis obligatoires), la remise en cause de la liberté de prescription des médecins généralistes et les pressions subies pour rester dans la ligne du parti…

Loin du catéchisme officiel, les intervenants (médecins, soignants, chercheurs, sociologues, politiques, experts…) offrent un regard critique sur la conduite de crise et réinjectent un point de vue hétérodoxe dans un débat scientifique soigneusement cadenassé depuis le début de l’épidémie. Les mesures coercitives, appliquées sous contrôle policier (confinement, couvre-feu, masques obligatoires…), trop souvent présentées comme des évidences sont ramenées ici à ce qu’elles sont véritablement : des arbitrages expérimentaux et aventureux, sans grande justification scientifique, à l’efficacité contestable et aux effets négatifs (économiques, sanitaires, psychologiques) jamais évalués et potentiellement colossaux.

« Hold-Up » identifie un point de bascule dans le déroulé du récit médiatique : l’affaire du Lancet sur laquelle la presse française s’est fracassée. Obsédée par la figure du Professeur Raoult, microbiologiste réputé mondialement qu’elle s’est acharnée à délégitimer tout au long de l’épidémie, elle a médiatisé à outrance, au mépris de toute prudence déontologique et de toute analyse sérieuse des faits, une étude scientifique contre l’hydroxychloroquine qui s'est rapidement montrée intégralement falsifiée. Comme l’affirmait le fameux aphorisme debordien : « Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux ». En confondant journalisme et règlement de comptes, en mêlant dangereusement faits scientifiques et dogmes idéologiques, la presse s’est fourvoyée dans un scandale planétaire et ses officines de fact-checking furent prises au piège de leur propre désinformation. Morale de ce naufrage historique : on ne remplace pas le journalisme de qualité par le Ministère de la Vérité.

Pour saisir le fonctionnement de la machine médiatique, « Hold-Up » s’attache à souligner le rôle crucial de son cœur nucléaire : l’AFP (Agence France Presse). Le 3 juin, lorsque le Lancet publie un « Expression of Concerns » à propos de cette étude dont l’intégrité scientifique semble désespérément battre de l’aile, l’AFP ne trouve rien de mieux que de tweeter un publi-reportage faisant la promotion du Remdesivir. Après l’incompétence journalistique authentifiée, la corruption ? Il faut dire que le système d’information en France ressemble à un étrange mélange entre la mafia soviétique et une coulisse de transmission des puissances d’argent. Et l’épidémie du virus SARS-COV-2 fut l’occasion de l’admirer dans sa splendeur réalisée. Le matériau : une pensée unique matraquée en mode endoctrinement, ne relayant rien d’autre que le point de vue du pouvoir et des laboratoires pharmaceutiques. Le matériel : de jeunes journalistes aux dents longues, branchés et opportunistes, ultra-actifs sur les réseaux sociaux et copinant sans gêne avec leurs alter-ego du monde scientifique, réunis sous la bannière des « NoFakeMed » (la plupart de ses membres n’étant même pas médecins). Selon la formule consacrée : qui se ressemble s’assemble. L’uniformité sociologique et idéologique des médias n’est pas la moindre explication dans son incapacité à comprendre les phénomènes sociaux. On vit ainsi France Culture convoquer un doctorant pour faire l’apologie de l’étude foireuse du Lancet, lequel s’illustrera quelques mois plus tard en publiant une méta-analyse bidon sur le même sujet. Un journalisme de complaisance, arrogant et médiocre, mais façon hipster.

Dans « The Big Short », beau film sur la crise financière de 2007, l’un des héros réalise l’imminence du krach immobilier américain en se confrontant violemment au réel : il rencontre une strip-teaseuse qui accumule avec nonchalance les crédits puis fait du porte-à-porte auprès de ménages endettés qui avouent ne plus arriver à rembourser leurs échéances. La planète finance, des traders aux agences de notation, sûre de ses modèles mathématiques, ne voit rien arriver. On connait la suite : l’effondrement. La médecine, comme l’économie, est victime d’une maladie très contemporaine : sa mathématisation. Quand Didier Raoult, interrogé à l’Assemblée Nationale, critique vertement les méthodologistes, son discours est inaudible à l’heure du tout-virtuel, des algorithmes et des modélisations. Il est pourtant fondamental puisqu’il rappelle que la médecine, contrairement aux mathématiques, n’étudie pas des objets abstraits mais du vivant. En cela, une étude observationnelle bien menée vaut bien mieux qu’une étude randomisée mal dessinée. Ainsi, lorsque le journaliste scientifique de France Culture, Nicolas Martin, affirme que « la randomisation est la seule méthode qu’on connaisse qui permette d’attester l’efficacité d’une molécule », il confond utilité et vérité. Mathématiser une science du vivant selon des concepts mal définis ne rapproche pas de la vérité scientifique. Ou pour le dire plus trivialement : repeindre en rouge sa Renault Twingo n’en fait pas une Ferrari Testarossa.

Cette faillite de la pensée critique au sein des élites (politiques, journalistes, experts…) a parfaitement été étudiée par l’historien et démographe Emmanuel Todd sous le prisme du système éducatif contemporain qui conduit à « une suraccumulation de conformisme et de crétinisme par obéissance aux consignes reçues depuis la petite enfance ». D’où la production d’une pensée unique, recouvert du vernis de « progressisme » dont ces élites n’interrogent ni les enjeux ni les implications. A ce stade, il est probablement utile de convoquer l’enseignement que nous prodiguait George Orwell au siècle dernier : « L’homme a besoin de chaleur, de vie sociale, de loisirs, de confort et de sécurité : il a aussi besoin de solitude, de travail créatif et du sens du merveilleux. S’il en prenait conscience, il pourrait utiliser avec discernement les produits de la science et de l’industrie, en leur appliquant à tous le même critère : cela me rend-il plus humain ou moins humain ? ».

Ce questionnement essentiel est précisément au cœur de « Hold-Up » qui n’hésite pas à opposer à la logique capitaliste des grands laboratoires pharmaceutiques une vision humaine et éthique de la santé. Comme l’explique Astrid Stuckelberger en ouverture du documentaire : « La politique sanitaire peut-être gouvernée par la logique de la maladie ou par la logique de la santé ». Le philosophe Ivan Illitch avait déjà averti que « l’entreprise médicale menaçait la santé » dans un ouvrage majeur paru en 1975 : « Némesis médicale ». Aujourd’hui, la situation est bien pire qu’à son époque. « Hold Up » s’attarde ainsi longuement sur la puissance de plus en plus considérable des Big Pharma, ces labos qui peuvent amasser des milliards de dollars par simples variations de cours de bourse et qui n’hésitent pas à pratiquer une intense activité de lobbying pour vendre à tout prix leurs nouvelles molécules. Le dévoiement d’une organisation internationale comme l’OMS est aussi abordée sous l’angle de ses fonds privés (comme ceux de la fondation Bill & Melinda Gates) qui ont acquis un poids énorme en son sein et influencent, de fait, les recommandations internationales sur les politiques de santé. Les intérêts personnels de Bill Gates et la priorité absolue qu’il donne à la politique de vaccination dans le monde entier avec tous les effets collatéraux que cela peut provoquer, sont ainsi sévèrement questionnés.

Et puisque la simple mention de l’influence de Bill Gates semble déclencher l’alarme incendie dans le cerveau des anti-complotistes de salon, il n’est pas étonnant qu’ils aient littéralement fondu les circuits lorsque furent abordés dans le documentaire le sujet brûlant du « Great Reset », le plan de déploiement de la 5G ou la recherche sur les nanoparticules. On imagine comment aurait été reçu aujourd’hui un essai comme « The Shock Doctrine » de Naomi Klein qui analysait en 2007 le lien entre les « désastres » (catastrophes naturelles, attentats…) et les violentes politiques néo-libérales qui en découlaient. Peut-être imaginent-ils encore qu’au forum de Davos, on chante l’Internationale ? Quelles que soient les maladresses de cette fin de documentaire, les procès d’intention envers son auteur ne pourront dissimuler longtemps son vrai projet, bien éloigné du complot : celui de décrire un monde qui se déshumanise à petit feu. Un constat qui rejoint celui de Michel Houellebecq qu’il exprimait déjà lors du premier confinement, lorsque les ravis de la crèche nous vendaient un idyllique « monde d’après » : 

« Le coronavirus, au contraire, devrait avoir pour principal résultat d’accélérer certai­nes muta­tions en cours. Depuis pas mal d’années, l’ensemble des évolutions technologiques, qu’elles soient mineures (la vidéo à la demande, le paiement sans contact) ou majeures (le télétravail, les achats par Internet, les réseaux sociaux) ont eu pour principale conséquence (pour principal objectif ?) de dimi­nuer les contacts matériels, et surtout humains. L’épidémie de coronavirus offre une magni­fique raison d’être à cette tendance lourde : une certaine obsolescence qui semble frapper les relations humaines ».

N’en déplaise à ses détracteurs dont le gonflement des chevilles semble inversement proportionnel à celui de leur courage, le documentaire de Pierre Barnérias restera le premier qui aura eu l’audace d’affronter, seul contre tous, l’absurdité totalitaire qui se déploie sans résistance depuis mars 2020. L’Histoire se chargera de faire les comptes. Dans « La Société du Spectacle », son chef-d’œuvre de 1967, le stratège Guy Debord écrivait : « La critique qui atteint la vérité du spectacle le découvre comme la négation visible de la vie ; comme une négation de la vie qui est devenue visible ». Négation de la vie comme ce délire sadique de masquer 8 heures par jour des enfants de 6 ans pour masquer sa propre aliénation. Négation de la vie comme ces mesures autoritaires dignes d’un pays en guerre relevant davantage de la croyance religieuse que des bases élémentaires de la médecine. Face à ce « déferlement totalitaire de khmers blancs qui nous emmènent vers un monde invivable » comme le dénonçait récemment le Dr. Fouché, « Hold-Up » devient soudain une œuvre à la puissance séditieuse que la panique des autorités ne fait que trahir.

Et si la peur changeait de camp ?

Car nous étions nombreux à penser les simples mots que cette aide-soignante prononça un matin sur RMC, face à une Apolline de Malherbe éberluée : « Je n’ai plus envie d’obéir”.

Swank est un citoyen éclairé et non-aligné.

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Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents ! Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection

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