La France prête à mettre en place la semaine de travail de 32 heures ?

Publié le 28 Août 2021

Un petit pas de plus vers le revenu universel 
obtenu après la validation du Passe Sanitaire ?

So-called digital ‘vaccination passports’ will play a key role in enabling citizens to access all manner of services and will act as a precursor to the rollout of mobile digital IDs.

Thales

It gets really exciting when you realise that the wallet can host both digitalised identity and payment credentials.

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Enabling citizens to prove who they are: The ability to prove who you are is something many of us take for granted, but without an identity, you’d be surprised at how difficult it is to access basic services like healthcare. The foundation of proving your identity is trust and the EU Digital Wallet will help citizens prove who they are at the click of a button. Public and private organisations can also be confident that the ID is authentic.

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Security first approach: One of the key principles of the digital wallet is its approach to security. At the core of the wallet are cybersecurity protocols which protect the device’s EU sovereignty, amongst other things. Citizen’s expectations for mobile security are high which is why the deployment of regional mobile wallets will have to take a layered security approach. This means that potential hackers would encounter different security measures in every part of the wallet. Ensuring this level of security is a priority for markets wishing to address consumer fears as well as ensuring strong take-up of the EU Digital Identity.

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Multiple documents in one place: The digital wallet is convenient as it can hold multiple documents in a single place – instead of citizens having to carry around wallets bulging with cards. Even more interesting when you think that 90% of users have a mobile device in reach at all times.

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Combining payment and identity: It gets really exciting when you realise that the wallet can host both digitalised identity and payment credentials. This could allow people, for example, to pay a deposit on a new apartment or settle an outstanding speeding fine directly from their smartphone.

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Allowing digital signatures: Digital wallets can manage digital signatures, enabling contracts to be signed and accepted at the convenience of the user (for the apartment, they’re in the process of buying for example).

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Built with data privacy in mind: People are increasingly wary of how their data is being used. Digital wallets can help address these concerns in a couple of ways through security and transparency of data use; firstly, citizens can choose which information they show businesses and organisations. Need to prove your ID at a bar? You can just show your date of birth without having to share your address. Secondly, the Digital ID will comply with EU data principles (GDPR) ensuring data minimisation, data protection and privacy rights management.

Thales

The wallet would, in essence, transform access to government services for EU citizens. It would be based on some key principles:

Cross-border identity: Last but certainly not least, the EU Digital Identity will allow citizens to use their documentation across the entire region. Each member state will be responsible for providing their own citizens with a wallet, but these will become universally accepted wherever people are across the European Union. This should allow citizens to access government services of any member state just as they do at home, heavily reducing extra costs and complexity.

Thales

La semaine de 35 heures est l’une des spécificités réglementaires en France.

Dans le contexte actuel de la crise économique et épidémiologique, le pays (politiciens et journaux) repense la semaine de travail et se demande si elle ne pourrait pas être ramenée à 32 heures.

Généralement en France, les travailleurs signent un contrat de travail de 35 heures par semaine. Pour autant, la plupart d’entre eux dépassent ce seuil, notamment dans le secteur privé où les longues journées de travail sont la norme. Même dans le secteur public les travailleurs peuvent avoir des semaines plus longues. Ces heures travaillées en plus peuvent être récupérées sous forme de jours de congés supplémentaires.

À l’instar d’autres pays, l’idée de mettre en place une semaine travaillée de quatre jours n’est pas nouvelle en France et s’insère dans le débat politique sur :

  • le travail,
  • le chômage,
  • l’automatisation du travail
  • et la qualité de vie.

Comme le rapporte The Local, la France Insoumise et les Verts ont déjà soutenu cette idée par le passé.

Lundi 23 août 2021, cette idée a fait la une du journal Libération, qui soutient amplement cette proposition : « Jusqu’à présent, l’idée de la semaine de quatre jours a circulé sans être prise très au sérieux. Mais la pandémie, en repensant notre façon de travailler, pourrait bien lui donner un nouveau souffle… un passage généralisé à la semaine de quatre jours et 32 heures permettrait de créer 1,5 à 2 millions d’emplois, soit bien plus que le nombre d’emplois supplémentaires générés par les 35 heures. Alors, pourquoi ne pas étudier sérieusement cette possibilité ? »

La CGT soutient également cette solution. Selon Sandrine Mouray, « pour nous, c’est l’occasion de penser l’organisation du travail différemment ». Une semaine de 32 heures ne signifie pas forcément une semaine de quatre jours. Cela pourrait également signifier une semaine de cinq jours, mais avec des horaires réduits pour aider les familles.

Le droit du travail en France est extrêmement complexe par rapport à d’autres pays et permet de protéger les travailleurs et leur vie professionnelle. Par ailleurs, la productivité ne souffre pas des semaines de travail légalement plus courtes qu’à l’étranger et des pauses déjeuner obligatoires. Selon Fast Company, les Français disposent généralement de 24,8 années de retraite, contre 18,1 pour l’Américain moyen. En effet, l’âge actuel de départ à la retraite en France est de 63,3 ans.

Actuellement, de nombreuses entreprises dans le monde privilégient l’idée de la semaine de quatre jours de travail, certaines envisageant même de verser à leurs employés le même salaire que pour une semaine de cinq jours. Le New York Times rapporte que Unilever actuellement un essai d’un an en Nouvelle-Zélande en payant à ses 81 employés cinq jours de salaire pour une semaine de quatre jours.

La pandémie a beaucoup appris aux entreprises, notamment que la productivité ne se mesure pas en termes de temps passé, mais en termes de rendement. En France, il reste à observer dans quelle mesure cette idée fera son chemin lors des prochaines élections présidentielles.

source : https://www.forbes.fr/politique/la-france-prete-a-mettre-en-place-la-semaine-de-travail-de-32-heures/

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